Chokier 2023

Neige et Montagne  sur le site de Chokier ce 03 décembre

 

 

Pour celles ou ceux qui ne le connaissent pas encore , le site de Chokier est une ancienne carrière rachetée par le CAB qui dispose d’une bonne infrastructure. 

Comme chaque année , Neige et Montagne entame sa saison par un rassemblement de retrouvailles et rappels de sécurité.

32 participants pour cette édition 2023 bien froide.

 

La rencontre débute vers midi 30 par un bbq et pain saucisse convivial bien orchestré par Morgan ,Colette et Christiane.

Après ce bon moment de partage et d’échanges en tous genre, place au briefing général et au démarrage des activités.

Pour cette partie pratique de la journée ,des petits groupes se sont formés en fonction des motivations et niveaux de chacun.

S’en suivent des exposés de Gilles Lacroix  à propos de nivologie et compréhension des risques de déclenchement des avalanches.

 

Philippe et Ingrid prennent en charge la partie technique de mouflages avec de très belles simulations.

De l’autre côté  Bruno et Pascal organise les groupes de recherche avec DVA.

 

L’après-midi se termine vers 16 heures30  par un gouter propice aux échanges et prises de contact pour organiser les prochaines séjours.

C’est aussi l’occasion de gouter les spécialités cakes , gâteaux ou bières ou vin chaud amenés par les participants.

Chacun s’en va petit à petit selon ses obligations .

Lorsque nous quittons le site vers 17h30 une énorme averse de neige s’abat sur la région.

 

Merci à tous les participants, collaborateurs et aussi au CAB Liège pour le site.

 

Rappel ,la philosophie de neige et Montagne :chacun est responsable de la sécurité

 

Marc Vanden Haute et l’équipe de Chokier 2023

 

Sortie au Grand Combin du 20 au 23 avril 2023

L’itinéraire initial prévoyait une boucle autour du Grand Combin.au départ de Bourg Saint Pierre. La météo du séjour n’était pas top mais pas catastrophique comme pour les quelques week- end précédents cette sortie et le groupe avait décidé de faire le déplacement pour tenter l’aventure.

Le premier jour se passe comme prévu avec la montée à la cabane du Velan. Nous arrivons au refuge Pascal, Bruno, Cedric, Daniel et moi- dans la neige et les nuages. Nous profitons de quelques éclaircies en fin de journée pour découvrir le paysage nous entourant depuis le refuge.                                                                                      

 

Le lendemain matin nous sommes à nouveau dans un temps bouché. Nous tentons une sortie vers le col de la Gouille. Nous opérons un demi-tour dans le premier passage raide avant le replat amenant vers le col. Les accumulations de neige fraiche sont trop importantes.                                                                                                            

 

Nous retournons à la cabane, faisons le point de la situation de la météo et du groupe. Le gardien du refuge nous avise de ne pas continuer en altitude. Nous décidons d’annuler le plan initial et de redescendre.

Nous regagnons et nous nous établissons à l’hospice du Grand Saint Bernard pour les deux jours restants (plan B).               

 

Le troisième jour donne lieu à une sortie en étoile au Mont Fourchon. Les conditions météo sont toujours mitigées mais praticables. Bruno et moi-même prolongeons la journée par une deuxième montée à la Tête de Crevacol, le reste du groupe rentre à l’hospice.                                                                                                                             

 

Pour le dernier jour les conditions météo de la matinée sont toujours bouchées. Nous redescendons et quelques-uns font un petit crochet et une dernière montée proche du col du Barasson.

 

Merci à Bruno et Pascal pour la préparation et l’encadrement de cette sortie. Pas mal d’imprévus et d’impondérables sur ce week-end. Nous avons tous pu profiter et faire une belle découverte de l’hospice du Grand Saint Bernard. La sortie initiale du Grand Combin pourra être remise à une prochaine saison.

 

Xavier

Sortie à Val di Rhemes du ( 11) 13 au 16 avril 2023

Les inévitables bonds de printemps de la météo ont réussi à effrayer quelques inscrits, les restants portaient leurs espoirs sur les éclaircies plus nombreuses que les ondées. La balance a penché du bon côté, protégé que nous étions par les crêtes frontalières dans le douillet Val di Rhêmes italien, situé au sud-ouest de Aoste.

Marc et moi partis en avance avons pu profiter des pentes du Pila et ensuite du Val d’Entrelor en guise d’acclimatation. Le jeudi matin commence donc pour nous par une grasse matinée.   Brunella arrive vers les 11h prévue, Bruno et Philippe sont ralentis par un bout d’embouteillage au tunnel du Mont-Blanc, retrouvaille sympa et hop en route vers midi. Deux heures pour monter au refuge Benevolo, pas trop raide, un peu de bottine sur le sentier au début, le dernier pont de neige sur la rivière, tartine et délestage de sac au refuge, pour reprendre ensuite vers les crêtes. Les grosses bourrasques bien fraîches refroidissent quelques ardeurs, le col en dessous de la pointe de Lavassey sera le point culminant de la journée. La première descente en poudreuse promet quelques plaisirs pour cette sortie. Mais la neige change de consistance tous les cent mètres, le plaisir est à la hauteur de la concentration.

Le refuge est bien rempli au soir, les fesses italiennes n’ont pas l’air très large – sentiment partagé au-delà de mon propre postérieur. Il semble que de toute façon le menu italien mette chacun de bonne humeur. Motivés, l’objectif du lendemain est la Punta di Galisia, qui pointe à un honnête 3346m, 1100m au-dessus du refuge.

Vendredi 7h15, le groupe sur ses skis peautés se met en route. La nuitée dans la chambre de 2m de large à couchette en tri-superposé a contribué à la synchronisation des rythmes. Bruno repart de son pas ample, et nous on suit. Quand il est distrait je m’essaie à la tête, tout content de m’enfourner dans la trace toute fraîche laissé par les trois grâces nous précédant et qui ont partagés notre table hier soir. Elles avaient annoncé aller au même sommet que nous et sont parties de bonne heure. Mais bien vite il apparait que leur objectif a changé ou qu’elles ne sont pas futées. On voit dernière nous d’autres groupes partir vers notre gauche, plus en direction du sommet que notre trace ne l’est. Je reprends alors gentiment ma place au milieu de l’équipe et la trace est ajustée en zig-zag, même dans le plat. Pendant quand nous gambadons à travers le vaste cirque enneigé, les ambitions de joli chrono s’évanouissent devant le beau spectacle. La pente se raidit et j’ai le temps de m’interroger sur la cadence infernale de Bruno qui tire la trace en tête. De loin je peux observer la cadence des skieurs de têtes de chaque groupe qui traversent la vallée et j’estime leur rythme en comptant les pas: un-deux-trois-quatre etc. En confrontant ce rythme à notre groupe je me rends compte que notre locomotive tient une cadence d’enfer, ses pas sont court mais fort rapide. Le secret ne serait donc pas dans l’allongement du pas?

En groupe effiloché on parvient au sommet. La vue versant français sur Val d’Isère, la Grande Aiguille Rousse nous comble. Derrière nous le Grand-Paradis se montre avec son petit glacier accroché. Qui sait quand l’Albaron sera gravi dans une prochaine sortie ? Les trois grâces nous gratifient d’un sourire en arrivant au sommet. La traversée versant français par le col leur a pris à peine plus de temps que notre voie directe.

Le début de la descente est fantastique, on rebondit dans un matelas de poudreuse épais d’une bonne quarantaine de centimètres. Il faut un peu pousser dans les faux-plats du bas pour atteindre le refuge, caracoler dans la trace de montée ne suffit pas pour en arriver à bout, il faut un peu de bras ou de pas-de-patineur.

La météo du lendemain est annoncée maussade. Le lendemain matin nous démarrons un peu plus tard, l’espoir fait vivre, la visibilité est encore de quelques centaines de mètres. Quand deux heures plus tard la visibilité est descendue à vingt mètres nous faisons demi-tour. Un peu plus bas, dans un petit mur raide, Brunella perd un ski lors d’une chute. On se met à chercher, on laboure la neige, on sort les pelles, on ratisse la pente, nous discutons de différentes approches méthodiques afin de ne pas passer à côté du ski recherché. Marc nous rassure vers onze heures qu’avec la météo du jour on rate rien à chercher jusque 17h..Quand nous décidons de déplacer les recherches vers le bas, le ski aurait pu continuer à glisser dans la neige profonde, qui n’a pas encore rencontré ce cas, je resonde la zone de chute de chute initiale, et retrouve le ski. OUF.   Notre méthode de recherche n’était donc pas au point depuis le début, mais nous avons réussi à ne pas perdre l’épicentre des recherches. Retour au refuge et nouveau départ pour quelques heures, les éclaircies annoncées sont enfin arrivées.

La détente au refuge pour le dernier soir est joviale, génépi et autres sont fraternellement partagés.

Repartis à 7 heures le lendemain pour la dernière montée au Gran Vaudala, chacun s’accommode comme il peut en fonction de l’acclimatation, du repos, des ampoules cutanées, du vent froid qui est de retour.

L’avantage des sorties en étoile est bien que chacun peut adapter son effort, les asymétries dans le groupe ne portent pas trop de conséquences. Au col, on met les crampons pour monter à l’aise dans les cailloux vers le sommet. C’est beau et c’est le dernier de la sortie. Descente plein gaz, recharge du sac au refuge, Marc et moi filons, les autres trainent encore vers d’autres beaux endroits, Combin, Lac Majeur..

La neige dure dans le bas de la montagne réserve ses dernières surprises : un ski daigne s’arrêter avant de sauter dans le ravin, glissade dans de belles flaques. Il faut rester attentif jusqu’au bout, mais le sourire aux lèvres s’élargit à mesure des retrouvailles avec la vallée.

Bernard Martens

L’équipe du moment  : Brunella, Philippe , Bruno , Bernard , Marc           

Argentiere 2023

    

Michel Thomas  nous avait préparé un programme de haute montagne à Argentière pour ce début de mois de mars.

Avec un itinéraire passant par le col du Chardonnet , les aiguilles des Grands Montets et le tour,le ton était donné , ce n’était pas pour les novices.

Le faible enneigement de ce début mars a eu raison de nos ambitions et nous nous sommes repliés sur des programmes bis qui nous ont permis de découvrir l’Oiseau bleu , le site des Marecottes ainsi que la célèbre Vallée Blanche.

3 Super journées de bon ski dans un décor fantastique.

Merci Michel pour l’initiative , Bruno et Rachel pour les itinéraires fabriqués en dernière minutes.

Sans doute partie remise pour l’an prochain ?

Avec la participation de : Michel Thomas, Alain Blockerye, Rachel De Backer , Bruno Frackowiak, Axel Linden, Philippe Martin, Charles Cambier , Gilles Lacroix

Marc Vd Haute

 

      

Skating dans les Vosges

Catherine nous a emmené au gite des Hauts-Viaux pour un week-end de skating.

Merci à elle pour la préparation , l’organisation , l’ambiance et le reste.

 

Pour ceux qui ne connaissent pas ; le skating est une technique de ski de fond dérivée du patinage.

Cette discipline est pratiquée sur des pistes bien préparées ( lisses) que l’on trouve principalement dans les Vosges , Jura , Vercors etc… à coté des pistes de ski dites classiques.

Une fois la technique maitrisée , c’est une manière ludique de pratiquer le ski de fond pour qui aime la sensation de glisse.

  

l’après skating   

Marc Vd Haute

 

Week end du 9, 10, 11 décembre 2022 au chalet du SHM dans les Vosges…

Un endroit perdu en contrebas d’une crête c’est notre lieu de rendez-vous pour le WE.

Un peu comme une sorte de bout du monde et la promesse du début d’un autre monde.

Devant nous les collines des Vosges et au loin le ciel vers l’ouest. Derrière nous les contreforts du Hohneck montagne certe petite par la taille mais diverse par ses cotés à la fois populaires et sauvages.  Le Hohneck et ses versants c’est un peu comme un bout d’Ecosse en Alsace.

Cette première véritable sortie de la saison est une bonne réussite.

Un fameux groupe de jeunes de 26 à 82 ans pour représenter 3 générations…   

La neige est là en petite quantité mais suffisante pour décorer et même s’aventurer à la tombée du jour à ski à la frontale sur les  pentes du Hohneck.

 

Tout le monde n’est pas  enthousiaste pour ces péripéties et donc pendant que certains skient ou marchent , d’autres préparent l’apéro et  le souper  grâce au spaghetti bolo préparé par Colette.

A table entre autre grâce aux jeunes et à leur énergie ,l’ambiance est à la fête et à la complicité.

Mal de tête ?             Pas pour tous …

Samedi matin nous partons groupés pour une belle randonnée préparée par Michel Thomas qui nous emmène sur le flanc est de l’arête des Vosges en direction du sud pour ensuite plonger dans la vallée de Mittlach que nous atteignons vers midi pour le casse-croute.

Ensuite jolie remontée du Wormspel, ses cascades et ses lacs pour atteindre le col du même nom et ensuite le Hohneck un peu invisible. Le brouillard est là.

Re petit tour à ski à la frontale et 300m de D+ à ajouter pour Marie et quelques autres.

La soirée  continue avec une bonne raclette bien arrosée pour certains. Plus calme pour d’autres qui ressentent la fatigue du grand air.

Dimanche est plus serein. Le ciel s’est dégagé.

Nous nous divisons en 2 puis 3 groupes : les randonneurs emmenés par Michel , le skieurs emmenés par Marc.

Et notre séjour se termine, par un dernier bon repas à table.  Un bon moment pour chacun de refaire son WE à sa manière …

Puis c’est le grand nettoyage et les bonnes accolades. C’est déjà fini pour cette fois!

Pour Michel et Cédric, derniers contrôles dans le chalet SHM : couper et purger l’eau, fermer les volets, couper le chauffage, fermer la porte…     

Merci à Michel,  Colette et les autres pour la préparation , l’organisation , l’ambiance et le reste.

Marc Vd Haute

 

Journée rappel sécurité à Chokier 27 novembre 2022

Pour celles ou ceux qui ne le connaissent pas encore , le site de Chokier est une ancienne carrière rachetée par le CAB et en cours d’aménagement.

Des énormes travaux ont déjà été entrepris : déboisage , terrassements enlèvement de blocs instables, pose de broches etc..  Il reste maintenant quelques équipements et finitions à réaliser.

Comme chaque année , Neige et Montagne entame sa saison par un rassemblement de retrouvailles et rappels de sécurité.

Cette année nous avons fait le choix de nous retrouver à Chokier.

SITE DE CHOKIER Vue d’ensemble

 

44 participants pour cette édition 2022 dont une dizaine de nouvelles têtes venues se joindre au groupe des habitués.

La rencontre débute vers midi par un bbq et pain saucisse convivial bien orchestré par Colette , Noémie , Esfan et Pierre aidés par Christian.

Après ce bon moment de partage et d’échanges en tous genre, place au briefing général et au démarrage des activités.

Christian Massart rappelle l’historique de NetM ainsi que l’esprit d’ouverture qui y règne et  qui en fait le succès jusqu’à nos jours.

Il rappelle aussi la base de notre philosophie : c’est un groupe de copains qui cherchent d’autres copains avec qui partager les bons moments de ski et de montagne.

S’en suivent des exposés de Marc Lambert à propos de nivologie et compréhension des risques de déclenchement des avalanches et un exposé très intéressant du docteur Michel Lejeune de Nunatak spécialiste des expés polaires et secours aux victimes d’accident ou d’hypothermie.

 

 Le docteur Michel Lejeune donne des explications

Pour la partie pratique de la journée ,des petits groupes se sont formés en fonction des motivations et niveaux de chacun.

Philippe et Ingrid prennent en charge la partie technique de mouflages avec de très belles simulations tandis que de l’autre côté , Michel organise les groupes de recherche avec DVA**.

 

L’après-midi se termine vers 16 heures par un gouter propice aux échanges et prises de contact pour organiser les prochaines séjours.

C’est aussi l’occasion de gouter les spécialités cakes , gâteaux ou bières amenées d’un peu partout.

Les nouveaux du groupe ont pu faire connaissance des plus anciens et ainsi prendre part aux prochaines sorties programmées.

Merci à tous les participants, collaborateurs et aussi au CAB Liège pour le site.

Rappel ,la philosophie de neige et Montagne :chacun est responsable de la sécurité 

Marc Vanden Haute et l’équipe de Chokier

 

** DVA ; détecteur de victime d’avalanche

Sortie Rheinwaldhorn 26 27 28 mars 2022

             Nous partons à 3 (Xavier, Valentin et Bruno) pour une sortie itinérante en boucle sur 3 jours avec pour objectifs non seulement le Rheinwaldhorn (3402 m), mais aussi le Furggeltihorn (3042 m) et le Rheinquellhorn (3200 m). Le Rhein prend sa source dans le massif. Conditions météo exceptionnelles, neige excellente et paysages sublimes. Cependant l’enneigement était anormalement bas pour un mois de mars, compliquant l’accès au Zapporthutte. Le passage en traversée rive gauche semblait infaisable en arrivant du haut, il a fallu descendre rive droite et remonter à pied au refuge. Pour repartir le lendemain, le gardien nous a indiqué quelle bande de neige suivre ce qui a facilité la course. Dépose du matériel de glacier inutile pour l’ascension du Rheinquellhorn (3200 m) en aller-retour light avant de rebasculer vers le lac de Zervreilasee pour revenir a la voiture. Très bon fonctionnement de l’équipe pour l’orientation et le repérage.

Participants : Xavier, Valentin et Bruno

 

Objectif 4000

Sortie Objectif 4000 week end de l’ascension 

Le projet initial avait pour but l’ascension du Dom, plus haut sommet de la Suisse hors frontière (4545 m). Cependant, en raison de l’absence de gardiennage à cette période, l’organisation était complexe : portage important (réchaud, nourriture et matériel de ski) et marche obligatoire sur une large partie de l’itinéraire pour accéder au refuge. Bref, Il aurait fallu 5 jours pour  mener à bien ce projet.  

La sortie a donc été reconfigurée pour 4 jours dans les Alpes Bernoises, avec pour objectif l’ascension du Finsteraarhorn (4274 m) et du Grosses Wannenhorn (3906 m)

Nous partons à 4 (Roland, Alain, Cyprien et Bruno) pour cette dernière sortie de la saison, tant au niveau de l’enneigement que du gardiennage des refuges. Météo parfaite pour l’ascension du Finsteraarhorn. Par contre, le vent était trop violent pour le Grosses Wannenhorn, il a fallu renoncer 100 m sous le sommet. Le paysage n’en restait pas moins magnifique. Et une bonne ambiance dans l’équipe surtout pour résoudre les problèmes de mélange adiabatique de glace et d’eau pour Cyprien.  

Wildhorn 7 8 mai

Pour une fin de réussie quoi de tel qu’un 3000m ? 

Nous voilà partis à 7 ce début mai à Iffigenalp au dessus de Lenk pour  un WE sec avec une nuitée en refuge non gardé.

Départ du parking vers 10h30 après la répartition du matériel à emporter et surtout la répartition équitable du cubi de vin à monter au refuge.

Nous partons pour 20 minutes à pied sur le chemin pour accéder aux premiers névés d’où nous pouvons chausser nos skis.

 

Ensuite montée tranquille dans le vallon avec de belles avalanches qui déboulent sur notre gauche dont les courses se terminent assez haut au dessus de nous.

Passage par le lac Iffigsee et lacets finaux jusqu’à la Wildhornhutte que nous atteignons dans le brouillard. 

Michel qui connait bien les lieux fait office de gardien tandis que Philippe nous prépare le bois et allume le feu.

 

Dimanche matin départ au soleil pour 3h de montée via l’arête de la moraine et ensuite le glacier du Tené  pour atteindre l’arête finale que nous gravissons sans trop de difficultés.

Jolie descente et pique nique au soleil du refuge avant un retour et le rangement des skis jusqu’à … 

Alain , Cedric , Cédric, Michel , Morgan , Philippe , Marc